Le revenu de base

Le Lot en Action. 5 décembre 2011

Le premier film ayant pour thème un concept d’avenir qui nous concerne tous: le revenu de base inconditionnel pour tous.

Un sujet tabou qui déclenche des émotions et pose des questions. La liberté d’aller au bout de ses projets? L’égalité? La fraternité? Ou bien le déclin de la société compétitive? Qui va payer? Qui va continuer à travailler?

„Le revenu, c’est comme l’air sous les ailes de l’oiseau. Avec le revenu de base, le revenu devient un droit civil. – Bienvenue sur terre!“ C’est avec ces mots que commence le film. Est-ce que ça peut marcher?

Le film prend le contre-pied d’idées bien arrêtées, amène à réfléchir et surprend là où l’on n’aime pas trop regarder.

Le revenu de base - le Film par Actuchomage

Commentaires (3)

1. barth (site web) 15/02/2012

bonjour. ce film m'a passionné, et convaincu non pas à 100% sur le revenu de base mais du fait suivant : tant qu'il y a cet impôt injuste qu'est la TVA, alors il doit y avoir un revenu de base. (si tout le monde contribue, tout le monde bénéficie).
Ensuite, voici les variantes que je proposerais à ce beau projet :
Le revenu de base devrait être obtenu, pour les adultes non handicapés, en contrepartie d’un travail pour la collectivité. Par exemple : effectuer 21 heures par semaine dans une organisation d’intérêt général (association, école, mairie…), non partisane et non confessionnelle.

Le revenu concernant les enfants ne devrait pas pouvoir être perçu par les parents , donc il ne servirait qu’aux enfants à payer la cantine bio, faire le sport de leurs rêves, etc.
(Il y a trop de naissances sur Terre par rapport aux ressources naturelles. Je ne suis pas en faveur d’interdire aux gens d’avoir des enfants (car c’est cruel), donc simplement d’arrêter de les y encourager, donc ne donner aucune aide aux parents, simplement veiller à ce que tous les enfants, pas que ceux des familles riches, aient accès à tout ce dont ils ont besoin.)

Ce revenu de base ne doit pas ruiner le pays, il ne faut pas que les gens touchent l’argent en France et le dépensent ailleurs. Ce revenu pourrait être versé dans une devise nationale spéciale qui permette d’acheter des biens et services produits et imposés localement.
(L’euro est devenu une monnaie spéculative comme une autre. Des initiatives locales ont créé des monnaies non spéculatives, pourquoi ne pas étendre le principe d’une monnaie éthique au pays puis au delà )

Pour continuer, comme maintenant, à s’acheter un appareil ou un vêtement fabriqué par des travailleur-euse-s peu payés, dans un pays pollué par ses industries, il faudrait alors, effectivement, trouver un travail classique payé en euros.

Ma proposition n’est pas nationaliste mais éthique : si d’autres pays suivent l’exemple, on mutualisera cette devise afin d’étendre la zone de ce marché équitable et solidaire, afin de renforcer les collaborations culturelles et pacifiques entre pays.